De oom rechts:

 

 

Bal des Ardents
PARIS, 28 januari 1393

 

 


Isabella

Jeanne de Berry

 

The Bal des Ardents (Ball of the Burning Men) or Bal des Sauvages was op dinsdag 28 januari 1393 in Paris.
Louis d’Anjou, Jean de Berry en Filips de Stoute zijn ooms, zonen van Charles V de Wijze. Louis d'Anjou is inmiddels overleden in1384.
Louis d’Orleans is de broer van Charles VI. Hij was de stichter van het vuur met een fakkel. Hij werd later vermoord door Jan zonder Vrees de zoon van Filips de Stoute, neef van Charles.
Le 5 août 1392, il est pris d'un premier accès de folie dans la forêt du Mans. Il attaque sa propre troupe et tue quatre personnes avant d'être maîtrisé. Sa lucidité revient après deux jours, mais ce n'est qu'un début, ces accès de folie intermittents assombrissent son règne.

Gelegenheid is het derde huwelijk van de beste vriendin en hofdame van Koningin Isabella van Beieren, Catherina van Duitsland, .
Vrouwen op de bank:
- Isabella van Beieren, vrouw van Karel VI van Frankrijk, valt fauw in de blauwe jurk
- Catherina van Duitsland, vriendin van Isabella
- Jeanne de Berry, tante van Karel VI en vrouw van Jean de Berry
Les Ardents(waren het nu 5 of 6):
- Charles zit onder de jurk van Jeanne de Berry
- Milon, comte de Joigny, stierf ter plekke
- De bastaard Yvain de Foix (1357 - + Paris, Hôtel Saint-Pol, 30 janvier 1393), est un fils bâtard de Gaston Febus III de Foix-Béarn. Il est gravement brûlé lors du Bal des ardents, le 28 janvier 1393 et meurt quelques jours après, dans d'atroces souffrances.
- Jean of Ogier graaf van Joiny en Nantouillet, sprong in een bad met afwaswater
- Charles de Poitiers, zoon van de graaf Valentionois, meurt quelques jours après le 30 janvier 1393, dans d'atroces souffrances.
- Huguet de Guisay, favored in the royal circle for his outrageous schemes. He was a man of wicked life who corrupted and schooled youth in debaucheries, and held commoners and the poor in hatred and contempt, he called them dogs. When his coffin was carried through the strets, the common people greeted it with cries of Bark, dog!.

F
our of the dancers were killed in a fire caused by a torch brought in by a spectator, Charles' brother Louis, Duke of Orléans.
Rechts staan:
- Philips de Stoute oom van Karel VI
- Jean de Berry oom van Karel VI, had eerst met Louis gedronken in het cafe
Met fakkel in de hand:
Lodewijk van Orleans, die goed wilde kijken wie, wie was………..


The events undermined confidence in Charles' capacity to rule; Parisians considered it proof of courtly decadence and threatened to rebel against the more powerful members of the nobility. The public's outrage forced the king and his brother Orléans, whom a contemporary chronicler accused of attempted regicide and sorcery, into offering penance for the event.

Scholars believe it may have been a traditional charivari, with the dancers disguised as wild men, mythical beings often associated with demonology, that were commonly represented in medieval Europe and documented in revels of Tudor England.
The event was chronicled by contemporary writers such as the Monk of St Denis and Jean Froissart, and illustrated in a number of 15th-century illuminated manuscripts by painters such as the Master of Anthony of Burgundy.

Contexte
En ce 28 janvier 1393, Charles VI organise un bal à l'hôtel Saint-Pol1, demeure royale située à Paris sur le bord de la Seine (actuel quai des Célestins) ou selon d'autres sources à l'hôtel de la Reine-Blanche2situé près des Gobelins (actuelle rue de la Reine-Blanche), pour les noces d'une demoiselle d'honneur de la reine Isabeau de Bavière, Catherine l'Allemande, veuve du sire de Hainceville. La dame se marie pour la troisième fois avec un homme choisi par la reine. À l'occasion d'un remariage comme dans le cas de Catherine l'Allemande, il est de coutume d'organiser un charivari.
La journée se déroule gaiement en fêtes et en banquets. Toute la cour a été invitée aux festivités qui se poursuivent le soir par un bal organisé à l'Hôtel Saint-Pol. Après la présentation des musiciens, ceux-ci commencent à jouer. Les convives se mettent à danser au son des trompettes, des flûtes et deschalumeaux (petit instrument à vent ancêtre de la clarinette) et d'autres instruments de musique. Ainsi débute le charivari.
Le charivari étant formellement interdit par l'Église, Charles VI faillit mourir en état de sacrilège.
Sur une idée de Charles VI et de Hugues de Guisay, le roi et quatre autres de ses compagnons (Milon, comte de Joigny, le bâtard Yvain de Foix, Ogier de Nantouillet et Aymard de Poitiers) décident d'animer la fête en se déguisant en « sauvages ». Ils s'enduisent de poix recouverte de plumes et de poils d'étoupe avant de se lier les uns aux autres au moyen de chaînes. Seul le roi n'est pas attaché, ce qui lui sauvera sans doute la vie.
La noce bat son plein jusqu'au milieu de la nuit, lorsque les lumières s'éteignent et que les cinq sauvages se glissent au milieu des invités, gestuelles et cris à l'appui (danse de la sarrasine). D'abord surpris, les invités se prennent au jeu. Mais arrivent bientôt le duc d'Orléans, frère du roi, et son oncle le duc de Berry, qui ont déjà passé une partie de la soirée dans une taverne.
Intrigué par les danses de ces étranges sauvages, le frère du roi s'empare d'une torche pour mieux voir qui se cache sous les masques. Mais le duc d'Orléans s'approche trop près des déguisements et les costumes prennent feu immédiatement alors que les fêtards ne peuvent se dépêtrer à cause des chaînes.
Le roi ne doit son salut qu'à la présence d'esprit de sa tante Jeanne de Boulogne, duchesse de Berry, qui l'enveloppe immédiatement de sa robe et de ses jupons pour étouffer les flammes. Le sire Ogier de Nantouillet réussit à se libérer de sa chaîne et se jette dans un cuvier où se rinçaient les hanaps. Yvain de Foix, quant à lui, tente d'atteindre la porte où deux valets l'attendent avec un linge mouillé. Mais transformé en torche vivante, il n'y parvient pas. Les autres compagnons brûlent pendant une demi-heure sous les yeux impuissants du roi. Ils mourront l'un après l'autre après trois jours d'une terrible agonie.

Conséquences
Le lendemain, la nouvelle fait le tour de Paris et la foule se dresse devant l'hôtel Saint-Pol, où réside le roi. Les gens ne comprennent pas que l'on ait permis à ce roi, à l'esprit déjà fragile, une telle mascarade. La rumeur veut en outre que ce soit après avoir aperçu un sauvage l'année précédente que le roi eut son premier coup de folie (au cours duquel il tua quatre de ses compagnons).
Quelques jours après le drame, très choqué, Charles VI publie une ordonnance par laquelle il confie la régence à « son cher et très aimé frère Louis duc d'Orléans, comte de Valois et de Beaumont, tant pour le bien, sens et vaillance de lui comme pour la très singulière, parfaite loyale et vraie amour qu'il a toujours eue à nous et à nos enfants ». Mais le duc d'Orléans étant jugé trop jeune, la régence échoit à ses oncles les ducs Jean de Berry et Philippe le Hardi. Charles VI n'a pas encore vingt-cinq ans et, comme le remarque le connétable de Clisson, il y a alors trois rois en France.
L'hôtel sera quant à lui démoli3 sur ordre du roi et la rue de la Reine-Blanche ouverte en sa place. Il sera reconstruit plus tard à la fin du xve siècle ou au début du xvie sous le nom du château de la Reine-Blanche situé entre les actuelles rues Berbier-du-Mets etGustave-Geffroy. Il sera alors occupé par la famille Gobelin qui établira à proximité la Manufacture des Gobelins.